Maurice Merleau-Ponty Dernier écrit de son vivant (1960), écrit à Aix au Tholonet, face au paysage de Cézanne, dans la maison La Bertrane.

D’après Claude Lefort, auteur de la préface, Merleau-Ponty à « la conviction que tous les problèmes de la philosophie doivent être repensés à l’examen de la perception, et qu’il a tiré cela de la lecture de Husserl (p V) »

« Le travail du peintre persuade Merleau-Ponty de l’impossible partage de la vision et du visible, de l’apparence et de l’être (p VII) »

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