Le Québec, ancienne colonie française, est aujourd’hui une des 10 provinces du Canada, située au Nord du continent américain. Prisonnier entre l’océan Atlantique, l’Ontario et les États-Unis, le Québec représente le plus grand espace francophone outre-Atlantique. Le climat de cette région est pour tout dire assez rigoureux, bien que nous ne puissions pas en témoigner puisque la date de notre arrivée dans cette contrée ne nous a pas permis de goûter au climat hivernal légendaire et à ses températures.
À l’état primitif de la société, en dehors de toute civilisation, les hommes étaient tout à fait libres et égaux, et chacun avait un droit sur tout, de faire ce qu’il voulait. Ils disposaient librement d’eux-mêmes, et eux seuls étaient donc habilités à décider de ce qui était utile ou non pour eux, ce qui était Bien ou Mal pour eux. Mais chacun poursuivant son propre avantage au détriment d’autrui, il en résultait un état de guerre permanent, la guerre de tous contre tous, de chacun contre chacun. « L’homme est un loup pour l’homme » (Hobbes).
Ainsi, pour sortir de cet état de guerre, il était nécessaire aux hommes de céder une partie de leur liberté en échange de sécurité. C’est pourquoi ils cédèrent leur droit, leur liberté à se faire justice eux-mêmes à une entité supra-individuelle : l’État. L’État doit donc assurer primordialement la sécurité, et les hommes doivent se soumettre à sa volonté. L’État dispose donc, de par le libre consentement entre les hommes qui lui sont soumis, du « monopole de la violence légitime » (Weber). Celui-ci doit dont l’utiliser pour le bien commun, et faire respecter le droit naturel (jus naturalis). Quiconque empiète sur le droit naturel d’autrui doit être empêché de nuire par l’État par quelque moyen que ce soit, y compris la force.
La question de la place du service public est aujourd’hui plus que jamais d’actualité. En effet, le gouvernement Raffarin est actuellement en train de plancher sur le problème des retraites, et les différences sociales entre le régime de cotisation des salariés du privé et des salariés du public sont aujourd’hui dévoilées au grand jour. Alors que l’ensemble de la droite française serait pour un alignement du public sur le privé, la gauche souhaiterait l’inverse, c’est-à-dire l’alignement du privé sur le public, en ce qui concerne les acquis sociaux.
Mais ce débat révèle en fait une question de fond beaucoup plus polémique : quelle est la place du service public ? Un des grands désaccords gauche – droite repose sur ce problème. Vaut-il mieux se placer dans une optique plutôt socialiste, qui prône un contrôle de l’état dans les entreprises, ou au contraire plutôt libérale, qui défend quant à elle l’initiative individuelle et un désengagement de l’état ? Une autre question s’ensuit : qu’entend-t-on vraiment par service public : serait-ce se limiter simplement au tâches régaliennes, ou bien doit-on s’étendre à d’autre activités telles que la production d’énergie, la télécommunication ou les transports ?
Virginia ne savait pas vraiment pourquoi elle se prénommait Virginia. Ses parents ne lui ont jamais expliqué la raison. Peut-être était-ce en hommage à la reine Elizabeth Ire, surnommée Elizabeth la Vierge. Mais il y avait peu de chance : elle soupçonnait ses parents d’ignorer non seulement beaucoup de choses sur elle, mais encore plus de choses concernant l’histoire de l’Angleterre. Par contre, ils connaissaient mieux les États-Unis, là où ils passèrent leur Lune de Miel. Ils voulaient aller aux États-Unis pour leur voyage de noces. Ils le voulaient, oui, mais pas à tout prix, puisque que c’est parce que Las Vegas était trop cher qu’ils sont allés en Virginie. Et c’était parce que leur premier enfant devait naître 9 mois plus tard, un 14 février, qu’ils le baptisèrent Virginia, avec à la fin un A comme Amour.
Che Guevara. Né en 1928 à Buenos Aires, de bonne famille, bourgeois, asthmatique, étudiant en médecine. Pour lui, « la solution des problèmes est derrière le rideau de fer (1957) ». Rencontre Castro en 1955 au Mexique, débarque avec lui à Cuba le 12 décembre 1956. Se fait remarquer par sa dureté : il fusille un de ses gamins guérilleros pour un vol de nourriture. Engage un second front en automne 58 au centre de l’île à Las Villas. Victoire. Devient procureur. Envoie en prison d’anciens compagnons restés démocrates, qu’il fait par la suite fusiller. Nommé ministre de l’Industrie et directeur de la Banque Centrale, il applique le modèle soviétique. Méprise l’argent mais vit dans les beaux quartiers. Ministre de l’économie sans aucune notion d’économie, il ruine la Banque Centrale. Institue les « dimanche de travail volontaire ». Admire l’URSS et la Chine, salut la Révolution culturelle. En 1960, invente le premier camp de travail correctif. Appelle son fils Vladimir en hommage à Lénine. Embrigadement de la jeunesse, culte de l’homme nouveau. « Créer deux, trois, de nombreux Vietnam (67) » ; veut exporter la guérilla à travers le monde. Se brouille avec Castro et part en Bolivie où il tente une énième révolution, en se désolidarisant du Parti Communiste. Échec : aucun soutien des paysans. Isolé et traqué, il est arrêté le 8 octobre 67 et exécuté le lendemain.
Les théories du droit naturel posent comme principe le fait que tout homme a droit à la propriété, et que c’est autour de cette notion que s’articule tout fonctionnement de la société. Il convient donc de définir le plus exactement possible cette notion de propriété, tout en rappelant les fondements des théories du droit naturel.
Certes, l’histoire de Chahdortt Djavann est remarquable : avoir quitté l’Iran de Khomeny et le voile islamique pour la France.
Certes, Chahdortt Djavann a « porté le voile pendant 10 ans, et elle sait de quoi elle parle. »
On ne doute absolument pas de ce que le voile implique, que cela soit au niveau politique, ou sociologique, et cela a été très bien montré avant par d’autres auteurs.
L’organisation industrielle définit les relations que l’entreprise entretient avec ses différents partenaires, en principe les fournisseurs, mais aussi avec ses clients, surtout si l’activité de l’entreprise est la sous-traitance. Plusieurs modèles d’organisations peuvent être appliqués par les entreprises. Chacun possède ses avantages et ses inconvénients, et comme bien souvent, tout n’est qu’affaire de compromis.
Ainsi, pour définir sa stratégie, l’entreprise doit effectuer un choix fondamental : est-il préférable de faire ou de faire-faire ? Et c’est à partir de là que toute l’organisation industrielle va se construire.
Alexandre Del Valle, Le totalitarisme islamiste à l’assaut des démocraties
Politique, Doxographies Aucun commentaire »Alexandre Del Valle est un géopolitologue confirmé et est professeur de géopolitique à l’Ecole de guerre économique. Il est chercheur à l’Institut International d’Etudes Stratégiques (IIES) et à Paris II. Il codirige la revue Géostrategie et collabore à de nombreuses publications, comme Politique International. Son œuvre se limite pour l’instant à trois ouvrages : Islamisme et Etats-Unis : une alliance contre l’Europe parut en 1997, Guerres contre l’Europe parut en 2000 et réactualisé en 2001, et son dernier ouvrage, sans aucun doute le plus controversé, Le totalitarisme islamiste à l’assaut des démocraties, dont nous allons parler ici.
Depuis les tragiques événements du 11 septembre, l’Occident semble avoir découvert une menace qu’il ignorait, ou plutôt une menace dont il se croyait protégé. Malheureusement, le totalitarisme islamiste est bien réel et la menace n’a aujourd’hui jamais été aussi présente. Le monde islamiste est un acteur géopolitique d’un très grand poids, et que nous sommes forcés d’entretenir à cause de notre trop grande dépendance énergétique à cette région du globe. L’islamisme profite de cet avantage de taille pour tenter de s’étendre encore et encore, par tout les moyens, et le 11 septembre est une preuve tragique de ce constat d’échec de nos démocraties à lutter contre les totalitarismes de toutes sortes. Nos libertés sont aujourd’hui en proie à un grave danger. Mais avant nous, c’est le monde arabe dans sa presque totalité qui est malheureusement gangrené par ce fléau totalitaire.