« On ne saurait trop encourager les jeunes filles à pratiquer l’art gracieux de la cuisine.

De l’estomac satisfait dépend le bonheur en ménage. Une mauvaise cuisine, des digestions pénibles, en voilà bien assez pour amener la brouille et le divorce. Pour être une maîtresse de maison accomplie, il n’est pas obligatoire de passer sa vie devant ses fourneaux, mais une cuisinière à gages mettra d’autant plus d’amour propre à bien faire, qu’elle saura sa patronne experte en cuisine et capable d’apprécier le travail bien fait.

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